« L’identité de l’Europe, c’est d’être sans identité » affirme le juif ultra sioniste Mathieu Slama

La rédaction
Démocratie Participative
28 avril 2024

 

Le juif Slama est la caricature du juif éternel : mou, sans énergie, lascif, gluant, dissolvant, morbide, génocidaire.

Et bien sûr, sa haine de l’homme blanc, sur le dos duquel il prospère, est sans limite.

Quelle immonde gueule tordue d’hébreu avec ses yeux vitreux de poisson mort.

Si ce yid est sur tous les plateaux, c’est uniquement par le népotisme tribal. Il est le fils du juif Alain-Gérard Slama, un rapace libéral qui squatte les cercles dirigeants parisiens depuis toujours.

Il va sans dire que les mots « droits de l’homme » ou « ouverture » ne se comprennent ici que dans le cadre de la lutte des juifs pour construire un monde où seuls les juifs auraient conservé leurs caractéristiques et conscience raciale tandis que les goyim, concassés en un magma informe par l’immigration et le multiculturalisme, devraient déléguer aux juifs le rôle de les guider.

Ce n’est donc pas de l’idéalisme désintéressé, mais une soif inextinguible de domination qui pousse le juif Slama, comme tous ses congénères, à prêcher le sans-frontiérisme chez les autres.

Slama, quand il est question de sa race, est beaucoup plus intransigeant à propos de la question identitaire. Soudain, l’identité juive est millénaire, tout comme son droit de faire la guerre pour conquérir des terres.

Pour comprendre la mentalité génocidaire de ces yahvistes, il y a deux livres à lire.

Vous ne verrez plus jamais la race juive de la même manière, comprendrez les méandres de leurs sophismes permanents et surtout apprendrer à les haïr et les combattre rationnellement.

La Judée doit être détruite.

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